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Tue, 10/01/2023 - 08:35
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Mon, 09/01/2023 - 12:58
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Sun, 08/01/2023 - 15:51
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Sat, 07/01/2023 - 04:57
Guy II Damas Couzan (c. 1335-1407) connait une brillante carrière militaire auprès du duc de Berry puis du roi Charles VI dont il devient maître de l'Hôtel du roi puis Grand Chambellan. Au fait des désastres militaires auxquels il a pris part, ce dernier va remettre au goût du jour le système défensif de sa forteresse familiale de Couzan. Documentation archivistique et données archéologiques issues de fouilles récentes permettent d'en documenter la portée.
Sat, 07/01/2023 - 04:57
L'étude d’un logis et d’une tour a permis de mettre en évidence des aménagements architecturaux du XIIIe siècle prenant part à la seconde enceinte du château comtal de Montbrison datée du XIIIe siècle. La documentation archéologique, accompagnée d'une recherche archivistique, permet d'aborder les aspects fonctionnels et chronologiques des structures mises au jour ainsi que de les contextualiser et mettre en lien avec l'essor urbain de la capitale des comtes de Forez.
Thu, 05/01/2023 - 10:07
L'étude d’un logis et d’une tour a permis de mettre en évidence des aménagements architecturaux du XIIIe siècle prenant part à la seconde enceinte du château comtal de Montbrison datée du XIIIe siècle. La documentation archéologique, accompagnée d'une recherche archivistique, permet d'aborder les aspects fonctionnels et chronologiques des structures mises au jour ainsi que de les contextualiser et mettre en lien avec l'essor urbain de la capitale des comtes de Forez.
Thu, 05/01/2023 - 10:02
Guy II Damas Couzan (c. 1335-1407) connait une brillante carrière militaire auprès du duc de Berry puis du roi Charles VI dont il devient maître de l'Hôtel du roi puis Grand Chambellan. Au fait des désastres militaires auxquels il a pris part, ce dernier va remettre au goût du jour le système défensif de sa forteresse familiale de Couzan. Documentation archivistique et données archéologiques issues de fouilles récentes permettent d'en documenter la portée.
Thu, 05/01/2023 - 04:28
La fouille archéologique menée sur le château médiéval de Clermont en juillet 2018 fait suite à une première campagne de sondage réalisée en 2017 ainsi qu’à une logique d’études castrales développée dans le département de la Haute-Savoie depuis 2010. La volonté départementale de mettre en valeur son patrimoine historique ainsi que la présence du site de Clermont au sein d’un corpus d’étude d’une thèse en cours sont autant de raisons de poursuivre ce projet. À vingt kilomètres au nord-ouest d’Annecy et à cinq kilomètres de Seyssel, Clermont se situe au cœur de l’Albanais à environ 690 m d’altitude. L’agglomération est logée au croisement d’axes routiers historiques desservant Chambéry, Genève et Annecy. De par sa position sur une colline, elle domine les plaines avoisinantes et sert ici de point de contrôle sur l’espace environnant. Le site médiéval de Clermont apparaît dans les sources écrites dans le courant du XIIIe siècle. Il s’agit alors d’une demeure princière appartenant aux comtes de Genève. Si le site semble occupé dès le XIIe siècle du fait de la présence de seigneurs de Clermont, il n’est pas fait mention d’une forteresse à ce moment-là. Résidence d’été des comtes de Genève dès la seconde moitié du XIIIe siècle, les dimensions générales du site se rapprochent de celles du château d’Annecy alors capitale du comté. Avec le rachat de ce dernier par les comtes de Genève au début du XVe siècle, le site perdra de son importance, mais sera régulièrement entretenu et transformé partiellement en prison aux environs du XVIe siècle. À la fin du siècle, Gallois de Regard, originaire de Clermont, fait construire, en accord avec le duc de Savoie, une demeure fortifiée d’inspiration Renaissance italienne à l’emplacement de la résidence familiale sur le plain château. Les deux bâtiments cohabiteront pendant un demi-siècle environ. Au début du XVIIe siècle, la Savoie entre en conflit avec la France si bien qu’en 1630 les troupes de Louis XIII assiègent l’agglomération. Les habitants, refusant le siège, ouvrent les portes aux troupes françaises. La forteresse médiévale, alors encore en état de tenir un siège, est détruite par Louis XIII et son armée. La demeure Renaissance, bien que partiellement ruinée, est rachetée dans les années soixante avec le plateau médiéval par le département de la Haute-Savoie. Après différentes opérations d’acquisition de données planimétriques et topographiques et de premiers sondages, une opération de fouilles archéologiques programmée a été réalisée entre le 9 juillet et le 3 août 2018. Par l’ouverture de deux secteurs d’environ 100m² chacun, la fouille a permis de compléter les données obtenues sur la tour maîtresse en 2017 et d’ouvrir une nouvelle zone du château supposée renfermer les bâtiments résidentiels. Le secteur nord nous a permis de mettre au jour l’intégralité de la tour maîtresse ainsi qu’une nouvelle portion de son environnement proche. La fouille de la tour a révélé une série de trous de poteaux creusés dans le substrat rocheux au fond de l’espace intérieur. Néanmoins, ils ne semblent pas être en lien avec le bâtiment et leur datation est actuellement compliquée. Une maçonnerie antérieure à la tour a également été trouvée au nord. Il pourrait s’agir du premier indice concernant l’occupation du site avant le XIIIe siècle. Enfin, la tour a fait l’objet d’un remaniement au XVIe siècle puisque sa maçonnerie, épaisse de 3.70 m, a été percée d’une porte et d’un couloir afin de pouvoir accéder plus facilement au rez-de-chaussée. Cet aménagement semble à mettre en lien avec le changement de fonction de la fortification, cette dernière étant transformée en prison dans le courant du siècle. Le secteur sud est inédit. Son ouverture a permis la mise au jour de plusieurs espaces maçonnés proches de la limite sud du fossé. Au sein de ces bâtiments, plusieurs foyers associés à des canalisations d’assainissement, une cheminée monumentale et une fosse dépotoir nous ont permis de localiser une des cuisines du château, identification appuyée par les textes médiévaux et le mobilier retrouvé. Le pendant sud du mur de fossé retrouvé en 2017 a pu également être localisé bien que complètement purgé. Enfin, des indices semblent nous indiquer une potentielle entrée du secteur résidentiel. Les résultats de cette campagne confirment le fort potentiel archéologique pressenti en 2017. Les vestiges et le mobilier sont nombreux et assez bien conservés pour permettre une compréhension du site. Toutefois, beaucoup de questions restent encore en suspens et seule une poursuite de ces travaux permettra d’obtenir une vision complète du site et d’en proposer une restitution fidèle. De même, la mise en valeur de ces fouilles par le biais d’une exposition permanente dans la demeure Renaissance se poursuivra dans les années à venir.
Sat, 31/12/2022 - 04:43
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Thu, 22/12/2022 - 04:58
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Wed, 21/12/2022 - 04:50
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Wed, 21/12/2022 - 04:50
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Wed, 21/12/2022 - 04:50
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Tue, 20/12/2022 - 17:03
Cet article met en lumière l’évolution d’un ensemble de codices administratifs de la collégiale Saint-Just, rangé au sein du chartrier et des nombreux titres du chapitre. Cette étude se fonde surtout sur un inventaire des papiers de la collégiale de 1486 et ses différentes additions qui permettent d’observer une quinzaine de vieux documents de la collégiale entre les titres des obéances de l’église. On peut y voir un dépôt ancien auquel on ajoute au cours de la première moitié du xve siècle divers documents dont des actes capitulaires. Ceux-ci finissent même par devenir le seul type document archivé à cet endroit. La documentation permet de constater également la façon de nommer et de ranger ces volumes. Une cotation alphabétique est mise en place mais disparaît rapidement au profit d’une dénomination selon le nom du secrétaire. Ces fluctuations témoignent cependant un intérêt pour ces documents, perceptible dans la conservation de ceux-ci jusqu’à aujourd’hui.
Tue, 20/12/2022 - 11:27
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Tue, 20/12/2022 - 04:56
Le texte BHO 1093, également connu sous les numéros CANT 302 et Clavis coptica 0985 2 , est un sermon, conservé en copte sahidique, dédié au protomartyr Étienne. Attesté par plusieurs feuillets épars, ce texte n'a jamais été édité en totalité. En raison de la nature fragmentaire de ce sermon, l'identification de l'auteur, jusqu'à récemment, n'avait pu être établie avec certitude. Si, avec Alin Suciu, nous pensions initialement que ce texte appartenait à la collection des sermons pseudépigraphiques attribués à l'évêque Théodose de Jérusalem 3 , la récente découverte d'un feuillet mutilé provenant du fonds papyrologique de l'Université du Michigan (4969.1/4), à Chicago, a permis de lever les doutes quant à l'identité de l'auteur. Ce fragment, appartenant à un feuillet dont deux autres parties sont conservées, respectivement, à Paris et Berlin, attribue explicitement l'homélie à Jean II de Jérusalem, qui officia de 386 à 417.
Mon, 19/12/2022 - 14:44
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Fri, 16/12/2022 - 04:54
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Tue, 13/12/2022 - 11:00
Based on evidence provided by three manuscript account books preserved in the Archivio Salviati (Pisa), this study offers a direct insight into the importance of alum used in mordanting processes, in a dyeing company specialized in fast mordant dyes in Florence at the end of the fifteenth century. It provides further evidence confirming the new rise in Florentine broadcloth production in the second half of the fifteenth century, largely linked to the conquest of the huge markets of the Ottoman Empire by Florentine merchants.
Wed, 07/12/2022 - 18:03
Based on evidence provided by three manuscript account books preserved in the Archivio Salviati (Pisa), this study offers a direct insight into the importance of alum used in mordanting processes, in a dyeing company specialized in fast mordant dyes in Florence at the end of the fifteenth century. It provides further evidence confirming the new rise in Florentine broadcloth production in the second half of the fifteenth century, largely linked to the conquest of the huge markets of the Ottoman Empire by Florentine merchants.
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